
Au delà de la controverse entre Google et la CNIL trois questions se posent:
- Pouvons nous considérer qu'un filtre géographique est suffisant pour faire respecter le droit à l'oubli dans un monde "ouvert" ?
- Quel risque représente le filtrage des requêtes pour la circulation de l'information et donc pour la démocratie ?
- Les décisions prises par un état peuvent-elles s'imposer à l'ensemble du monde à l'instar des États Unis?
- BBC: BBC "Google fights French 'right to be forgotten' order"
- Le Monde: Droit à l’oubli" : Google conteste les demandes de déréférencement mondial de la CNIL